Paris-Bombay,
un bus relaie la voix des jeunes

Nos partenaires
Notre livre d'or
FORUM

 
 

Notre aventure  
  
 
 
 
       
 
   
 
Isfahan cé bô (iran)
Téhéran, cé grand... (iran)
Les retrouvailles tabriziennes... (iran)
Iran, à nous deux ! (turquie)
Van, son Lac, ses toilettes... (turquie)

.../...
 
     

   
 
Le chant des ruelles de Peshawar (pakistan)
Safar en rade (europe)
chant d'une petite fille kurde (turquie)
chant héroïque turc (turquie)

.../...
 
     

   
 
Passer un col en Safar (pakistan)

.../...
 
     


 

Paris-Bombay,
la vie d'une équipe

 
 
News
 
   
     
 
Newsletter
 
  Untitled Document

Inscrivez-vous à notre lettre d'information:


français english español
en savoir plus | se désinscrire

 
     

 
Journal de bord du 11/07/01
 
  Untitled Document

Safar en rade à Burgas (Bulgarie)

Nous nous sommes arrêtés à Burgas, en Bulgarie pour faire réparer Safar. Le mal dont il souffre est mistérieux : il ralentit exactement comme si ses pneus collaient, y compris au point mort, mais seulement quand il est chaud. Tous les garages boui-boui de la ville y sont allés de leur petite explication et ont allégrement entrepris de tout démonter.
Au premier soir, le moral est bas. Plus de trois garages ont tripoté les tripes de Safar, nous ont promis monts et merveilles, en vain.

Cliquez ici pour écouter le tour de table des étincellants fatigués. (1,05 MO de 4 mn de son au format MP3)

Epilogue : nous sommes restés presque une semaine dans un garage poids lourd de la même ville à chercher la panne. Chaque jour nous avons fait des "proba" pour voir si c'était réparé. Un soir, alors que la pompe d'injection avait été re-réglée, une proba a marché, et nous sommes partis pour la Turquie.
En route, le problème des "pneus qui collent" s'est répété. Ce coup-ci, on a eu l'idée de couper le circuit électrique de Safar, pour découvrir que ça réglait le problème ! On a roulé sans électricité jusqu'à Istanbul, où un garage Renault Service a commencé par refaire tout le mauvais travail des garagistes de Burgas. Puis alors que Safar marchait (presque) comme avant son passage en Bulgarie, à force de raisonnement et de l'aide d'André (des Cars de Villebon sur Yvette), on a trouvé le coupable : le frein électromagnétique (Telma) se mettait en route tout seul. Une petite matinée de plus et c'était de l'histoire ancienne.

 
     
 
       

| page d'accueil
Les jeunes | Le voyage | Des photos | Notre aventure
FORUM | Nous | SHELL